HAPPY STAR

Pour l’éducation des enfants de Mathare

Une école pour enseigner aux enfants de Mathare leurs droits, tels que le droit de ne pas être battus et abusés sexuellement ou encore le droit à l’éducation et à la nourriture.

HAPPY STAR

Pour l’éducation des enfants de Mathare

Une école pour enseigner aux enfants de Mathare leurs droits, tels que le droit de ne pas être battus et abusés sexuellement ou encore le droit à l’éducation et à la nourriture.

Un message d’espoir

« Depuis longtemps j’ai la vision d’un rêve. Cette vision c’est d’être capable d’améliorer la vie de ces enfants, surtout des filles. Je veux redonner de l’espoir là où il ne semble plus y en avoir, donner un sens à leur vie, mettre un sourire sur leurs visages.

Si tu donnes les bases à un enfant, il est capable de tout faire. »

Steve, fondateur de Happy Star

Steve et l’association

Stephen Odiambo Arodi, dit Steve, est né à Mathare, un bidonville situé à l’Est de la ville de Nairobi au Kenya. Il s’agit du plus vieux et du second plus grand bidonville après celui de Kibera. Sa population est estimée à 1,2 million d’habitants, dont 62% d’enfants. Avec seulement trois écoles publiques à la périphérie et de nombreuses écoles informelles qui sont débordées par les besoins énormes et le manque de ressources, il est impossible d’offrir une éducation de qualité aux enfants.

Steve est convaincu que l’éducation peut être améliorée et devenir un élément clé pour échapper au cycle de la pauvreté dans le monde. Il sait qu’une éducation préscolaire et primaire de haute qualité permet aux enfants de prendre un meilleur départ dans la vie. Il a donc fondé la première école Happy Star en Nairobi en 2016.

Un film documentaire

Portrait d’une résilience surprenante avec un retour à la case départ: Mathare, le bidonville où selon les statistiques, 50% des enfants sont abusés.

Le même enfant 20 ans plus tard: il mène un combat à la David contre Goliath pour les Droits de l’enfants. Ceux qui exploitent les enfants n’aiment pas ses activités mais la population de Mathare et de Genève le soutiennent.

Un documentaire signé Tiziana Caminada.

Steve et l’association

Stephen Odiambo Arodi, dit Steve, est né à Mathare, un bidonville situé à l’Est de la ville de Nairobi au Kenya. Il s’agit du plus vieux et du second plus grand bidonville après celui de Kibera. Sa population est estimée à 1,2 million d’habitants, dont 62% d’enfants. Avec seulement trois écoles publiques à la périphérie et de nombreuses écoles informelles qui sont débordées par les besoins énormes et le manque de ressources, il est impossible d’offrir une éducation de qualité aux enfants.

Steve est convaincu que l’éducation peut être améliorée et devenir un élément clé pour échapper au cycle de la pauvreté dans le monde. Il sait qu’une éducation préscolaire et primaire de haute qualité permet aux enfants de prendre un meilleur départ dans la vie. Il a donc fondé la première école Happy Star en Nairobi en 2016.

Un film documentaire

Portrait d’une résilience surprenante avec un retour à la case départ: Mathare, le bidonville où selon les statistiques, 50% des enfants sont abusés.

Le même enfant 20 ans plus tard: il mène un combat à la David contre Goliath pour les Droits de l’enfants. Ceux qui exploitent les enfants n’aiment pas ses activités mais la population de Mathare et de Genève le soutiennent.

Un documentaire signé Tiziana Caminada.

Actualités

Décembre 2023

Noël à Mathare

Avril 2023

Visite du Professeur Jaffé

Octobre 2022

Projection de Little Big Steve 

Les enfants de Mathare ont besoin de vous

Nous avons besoin d’avoir des enseignants qualifiés ainsi que du matériel scolaire approprié. Nous avons également besoin de nourriture pour les enfants. Ce qu’ils mangent à l’école est souvent tout ce qu’ils ont pour la journée.

Les enfants de Mathare ont besoin de vous

Nous avons besoin d’avoir des enseignants qualifiés ainsi que du matériel scolaire approprié. Nous avons également besoin de nourriture pour les enfants. Ce qu’ils mangent à l’école est souvent tout ce qu’ils ont pour la journée.

Photo d’Emmanuel LUYET